Et encore après que les Romains furent attediésm de tels jeux publics, et qu’ils connurent qu’il tournait en lascivité et in perniciem n de la république, qu’ils les laissèrent, et y euto loi expresse que les frais et impensesp qui se faisaient des jeux publics seraient employés ès réparations et fortifications de la ville de Rome.
Ils ont dit que le spectacle contre lequel ils ont exercé leur zèle, était des jeux fort indécents, appelés Majuma, qui ne subsistant plus, laissent leurs traits sans application.