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284. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. De l’Éducation. » pp. 60-92

Mais tandis qu’on est si délicat sur les justes craintes qu’inspire la religion, on ne veut pas voir que les machines de l’opéra présentent les mêmes choses : démons, magiciens, fées, enfer, &c. que la plupart des tragédies offrent des choses horribles. […] Cette raison est juste & profonde.

285. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230

Enfin après avoir imposé silence, il lui fit ce compliment : Mademoiselle, une main bienfaisante qui se dérobe à la gloire & se refuse à des justes éloges, a préparé, dans le secret, à la vertu, un prix dont jadis on avoit vu avec moins de justice honoré la beauté, (le jugement de Paris, allusion que la Rosiere & ses Compagnes n’entendirent pas.)

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