Je ne sais si je me suis trompé ; mais, en tout cas, je soumets sans peine mon jugement à la décision de mon Lecteur, à laquelle je souscris aveuglément.
Enfin la quatrième contiendra le jugement que les Auteurs tant sacrés que profanes ont porté sur les spectacles depuis Auguste jusqu’à Justinien. […] Jugement qu’ont porté sur les spectacles les Auteurs tant profanes que sacrés depuis Auguste jusqu’à Justinien. […] Quel est le Jugement par lequel on couvre de confusion des gens pour une profession qui les rend recommandables ? Ou plutôt quel aveu ne fait-on pas par ce jugement de la corruption qui est inséparable de ce divertissement, puisque quelque agréables que soient ceux qui les donnent, ils ne laissent pas néanmoins de demeurer dans l’infamie dont on les a notés. […] Du Jugement qu’on a porté des Jeux de Théâtre, ou des divertissements qui en approchaient, depuis les Scholastiques jusqu’à nos jours.