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183. (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE A M. RACINE, Sur le Théatre en général, & sur les Tragédies de son Père en particulier. » pp. 1-75

Mais il n’y a point là de ce genre d’intérêt, de ces situations singulières qui caractérisent les productions de notre siècle, & qui transportent de joie la plûpart des Lecteurs. […] Ce n’est point là l’éloquence passionnée d’un Jeune homme plein d’audace, de courage, d’amour, & proscrit par sa Maîtresse, qui n’attend que sa mort pour se jetter avec joie dans les bras sanglans de son meurtrier. […] Qu’un Peintre veuille exprimer la tristesse ou la joie, le plaisir ou la douleur, il peindra d’abord le visage ou doit règner l’un de ces sentimens.

184. (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16

Que si la joie fait vivre selon la confession de tous ceux qui viennent à la Comédie, et au rapport des plus experts médecins : pouvez-vous trop payer cette médecine si agréable que vous prenez sans dégoût et sans peine ?

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