Il prévoyait déjà, malgré la jeunesse de ce Prince, ce que Louis serait un jour.
Il est vrai que Varron dérive ce terme du verbe ludere, jouer, c’est-à-dire, badiner, se divertir ; comme on disait autrefois les jeux Luperciens, parce que la jeunesse les célébrait d’une manière folâtre : ce qui n’empêche pas que l’auteur n’attribue l’origine de ces jeux et de ces divertissements à la célébration de quelque fête, à la dédicace de quelque temple, ou à quelque autre semblable motif de religion.