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79. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187

Elle avoit toujours pour Valet de chambre, pour Ministre , pour favoris, les hommes les plus jeunes & les mieux faits du Royaume. […] Cette finesse n’est pas rare parmi nos jeunes Seigneurs pour payer les actrices. […] On offrit successivement les deux freres, le Duc d’Anjou, qui fut depuis Henri III, & le Duc d’Alençon, qui mourut jeune. […] Le jeune Prince étoit un étourdi, dit Fontenelle, libre, vif, élégant, petit-maître, François, que faut-il de plus pour plaire aux femmes ? […] c’est qu’elle n’est plus ni jeune ni jolie.

80. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7

Pourquoi ce Marquis, dont la femme est jeune, belle, spirituelle, du meilleur caractère & de grande Maison, l’abandonne-t-il pour courir après les caresses d’un minois ignoble qui n’en refuse à personne ?

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