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268. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120

Mais il paroît que tout ne rouleroit que sur des critiques purement littéraires, aucune sur les mœurs & la décence que tout y blesse, & sur le mépris que mérite Moliere à ce titre ; lui qu’un aveugle enthousiasme voudroit canoniser, quoique l’intérêt même des mœurs ne permette pas qu’on accrédite un homme qui les a si peu respectées, & dans sa conduite, & dans ses ouvrages. Le Mercure, ami de l’auteur, adoucit quelques traits de la piece : il change le bouge au charbon en cabinet de toilette, la débauche de la servante en subornation pour changer de maître (grand intérêt pour le public, bien digne des frais de l’hypocrisie !

269. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230

Les filles & les garçons de saint Farjeux ne connoissent point cette grossiere politesse que le vice a seul intérêt de pratiquer.

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