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322. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210

Voilà sans doute un moyen très efficace pour inspirer le goût de la pudeur et de la modestie aux femmes de Théâtre. […] On avait donc raison de proscrire le Théâtre : les législateurs voulaient inspirer de l’horreur pour l’image des mauvaises mœurs ; elle était si nue cette image, qu’il n’est pas concevable comment le Sénat n’eut pas l’autorité de l’effacer tout à fait : mais le goût effréné d’une Populace corrompue lui interdisait sans doute cette entreprise.

323. (1751) Nouvelles observations pp. 393-429

Un Comédien, est un Académicien, qui, sans se mêler d’enseigner les grands préceptes réservés à la Chaire de Vérité, peut, comme tous les autres Membres des Académies, prétendre à inspirer la politesse & l’honneur.

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