La fureur n’est pas moindre au théâtre, mais l’infamie y est plus grande : « In scenicis non minor furor, sed prolixior turpitudo. » Le Comédien raconte des adultères ou en représente, et en peignant les passions il les inspire : « Adulteria exponit vel monstrat enervis Histrio, dum amorem fingit infigit. » S. […] qu’à enseigner et inspirer la débauche : « Impudici motus enervata corpora muliebris incessus, fæminas mentientes, quod aliud ?
Cette Princesse inspire plus d’horreur pour sa mere que de compassion.