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209. (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65

Il imagine les femmes bien maladroites !

210. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre V.  » pp. 129-160

 1771, doute qu’un persiffleur soit un caractère qui puisse faire le sujet d’une comédie : Il n’a , dit il, aucune consistance, il prend tous les caractères qu’il imagine pour se divertir aux dépens de tout le monde, & l’immoler à la risée  ; (n’est-ce pas le caractère du comédien. […] Plusieurs d’entr’elles s’y sont trouvées personnellement intéressées, d’après plusieurs vers malheureusement trop agréables, elles se sont imaginées que l’auteur en leur attribuant le desir de plaire toute leur vie, leur a interdit la beauté à trante ans, elles lui auroient pardonné beaucoup de défauts ; elles ne peuvent lui pardonner cette erreur.

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