« Les comédies, dit-il, en leur substance, ne sont nullement choses mauvaises, mais indifférentes… je dis donc, Philothée, qu’il est loisible d’ouïr d’honnêtes comédies, que ce n’est pas mal de le faire, mais oui bien de s’y affectionner. » (Introduction à la vie dévote, pag. 1re du chap. 23.)
Elle veut alors qu’ils soient honnêtes à tous égards, qu’ils ne nuisent ni à la piété ni aux bonnes mœurs, qu’ils n’aient rien de contagieux, qu’ils n’inspirent point le goût de la frivolité, de la dissipation et de l’oubli de ses devoirs, et qu’enfin ils soient de nature à être offerts à Dieu.