Car si la dissipation des biens du monde et de l'or terrestre, par le jeu et par le luxe, n'est pas un petit péché; que doit-on juger de la dissipation des biens de la grâce, et de cet or enflammé dont parle l'Ecriture, que nous devrions acheter par la perte de tous les biens et de tous les plaisirs de la vie ?
Ou comme parle Tertullien au livre qu’il a écrit des spectacles : « Où (dit-il) rien ne s’approuve, sinon ce qui est réprouvé ailleurs, et auquelb la souveraine grâce est l’impiété.