L’homme pénétré des fades douceurs du péché, trouvera toutes les douceurs de la grâce de mauvais goût. […] Certes, cette divine manne de la grâce, ces ravissements, et ces joies de la dévotion, ne se communiquent pas à ceux qui ont un magasin fourni des biens de l’Egypte, et des plaisirs du monde.
Charles, des mains de Monseigneur l’Illustrissime Evêque de Montpellier, lequel durant son séjour à Rome l’avait fidèlement fait transcrire d’un cahier manuscrit gardé soigneusement dans la Bibliothèque du Cardinal François Barberin, avec la permission de sa grâce de l’imprimer en ta faveur : c’est l’avis que je t’ai voulu donner, ami Lecteur, afin que tu n’ignores pas à qui tu en es redevable.