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181. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54

Quand on désire obtenir de Dieu quelque grâce, il faut sans doute s’approcher de sa divine Majesté avec beaucoup de recueillement et d’attention. […] dans la Réponse qu’il fait aux consultations des Bulgares, afin de pouvoir aller à l’Eglise pour y chanter en l’honneur de Dieu des Psaumes, des Hymnes, et des Cantiques spirituels, pour s’appliquer à la prière, célébrer la mémoire des Saints, implorer leur secours, et enfin pour pouvoir obtenir de Dieu la grâce de les imiter.

182. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81

 « Puisque sans ce secours, C’est un homme à porter en terre dans trois jours. » Si la grâce de Dieu abandonne cette fille, elle sera assez innocente pour répondre, comme fit cette Agnes, qui parle ici, « Hélas : très volontiers. […] Comme la méchanceté de ces sortes de femmes croît toujours ; il ne faut pas s’étonner si Dieu s’éloigne d’elles ; et si la lumière de la grâce s’éteignant dans leurs cœurs, les ténèbres augmentent de plus en plus, et si elles tombent enfin dans des précipices affreux.

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