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164. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

Ils s’adressèrent à l’Empereur Claude pour obtenir cette grâce en se plaignant de ce qu’on n’avait pas employé depuis quelque temps en spectacles l’argent que Sosibius avait laissé pour cela. […] De la manière que Malela fait demander cette grâce a l’Empereur Claude par les Citoyens d’Antioche, on dirait qu’il s’agissait de leur honneur, de leur vie, ou tout au moins de leurs biens. […]  » : « qu’on n’entende jamais parmi vous des paroles déshonnêtes, ni de bouffonneries, ce qui ne convient pas à votre vocation ; mais plutôt des paroles d’actions de grâces. […] Rien n’est permis aux Chrétiens, qui ne doive être joint aux actions de grâces, et qui oserait rendre à Dieu des actions de grâce de la Comédie après y avoir assisté. […] , faites tout au nom du Seigneur Jésus-Christ, rendant grâces par lui à Dieu le Père.

165. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430

La Danse, considérée comme l’art de porter le corps avec grâce, avec aisance, dégagement, & le moins de fatigue possible, est un Art libéral, & une science nécessaire dans une bonne éducation : la Danse considérée, comme l’Art représenter par des mouvemens & des attitudes, quoique moins utile & moins louable, a son degré de mérite, comme fesant partie du Comédisme : il est une troisième sorte de Danse, qui consiste à voltiger sur une corde, avec ou sans contrepoids ; cette Danse était connue des Grecs 1345 ans avant J. 

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