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399. (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351

Et nous devons ajouter pour une seconde réponse, que de ces sujets même les plus consolants, soit l’Histoire de Judith, ou telle autre qu’on voudra prendre, il n’en est aucun où Dieu ne paraisse seul grand, seul aimable, seul digne de nos attentions, où les plaisirs de ce monde ne soient condamnés, et la Pénitence louée : or ces retours, ces réflexions, ces maximes, tout cela n’est point du goût du Théâtre, il faut les passer ou les déguiser.

400. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Chacune d’elles prendra parti suivant son zèle, ou suivant le goût du siècle.

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