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45. (1761) Epître sur les spectacles « Epître sur les spectacles » pp. 3-14

A sa main jadis rude, aujourd’hui satinée, Pour de bonnes raisons si souvent savonnée : A son air, à son geste, à ce regard mutin, A ce joli sourire, à cet air libertin, Sous un nom emprunté je reconnais Victoire, Elève d’un Couvent d’une illustre mémoire, Des bras de la Paris un Abbé l’enleva ; Au faîte des grandeurs un Comte l’éleva ; De Varenne parée en pompeux équipage, Du luxe de nos jours fut la brillante image : De même que l’insecte une fois papillon, Ne jouit qu’un instant de sa belle saison, En un jour élevée, en un moment déchue, On la verra bientôt barboter dans la rue. […] quand d’un Abbé Poupin, Empruntant l’air, le ton, le geste et la figure, Tu viens en manteau court prendre place au Mercure.

46. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XI. Que les Poèmes Dramatiques n'ont point été condamnés. » pp. 230-236

Mais lorsqu'il condamne quelques désordres dans les représentations Théâtrales, il parle de celles qui étaient accompagnées de danses honteuses, et de gestes impudents, c'est-à-dire, celles des Histrions.

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