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69. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-7

C’est quelquefois foiblesse d’esprit, souvent corruption & malice, pour séduire les simples, comme les retours des esprits dans les maisons, ces apparitions de génies que le Théatre a joué cent fois sous le nom de Sylphes, de Génies, d’Enchanteurs, de Fées.

70. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112

Les noms des Dieux de la Fable qu’on y mêle, les grands mots adorables, divinités, génie, leur paroît une apothéose. […] Solon explique la politique des Spectacles ; le génie des Atheniens leur goût effrene pour le plaisir, demandant des amusemens & des Spectacles. […] L’un avoit un génie noble, élevé sécond, énergique, plein de force, faisant des Héros de tous ses personnages. […] Un des plus forts génies que la Nature ait produit(peut-on porter plus loin l’aveuglement de l’enthousiasme ?) […] On croit se faire honneur, & par la difficulté de fournir des vers à tous ces mots, souvent bizarres, montrer de la facilité & de la fécondité de génie.

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