, où il est dit qu’une « vieille femme n’ayant pu échapper durant sa vie à un homme, qui l’avait forcée à le faire son héritier, elle voulut qu’il la portât après sa mort sur son corps frotté d’huile, afin de lui échapper du moins à cette fois ».
Ils agissent en cela comme une femme qui seroit à-la-fois prude et galante, pour avoir les plaisirs du vice et les honneurs de la vertu. […] Si nous voulions les imiter en tout, il nous faudroit avoir des décorations versatiles, un orchestre pour les danseurs separé du théâtre, un chœur tournant de droite à gauche, et de gauche à droite, en chantant des strophes et des anti-strophes, des hommes remplissant les rôles de femmes, et ayant des masques pleurant d’un coté, et riant de l’autre.