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210. (1666) La famille sainte « DES DIVERTISSEMENTS » pp. 409-504

Et c’est l’unique but que se doit proposer la Famille Sainte en ses petites recréations. […] Il est vrai que les Danses des Noces sont plus excusables que les autres, elles arrivent plus rarement, elles se passent entre peu de personnes : Deux ou trois familles en font tout le nombre : Le respect que les parents ont les uns pour les autres en modèrent la licence : C’est un peu de douceur qui se donne aux nouveaux mariés, qui leur ôte la grande appréhension de la servitude, où ils se vont mettre :« Solatium modesti gaudii decet habere illos, qui ad vitam laboriosam matrimonii convenerunt. » Thom. […] Il ne se pouvait rien présenter à mon esprit de plus défavorable ; car si la sainteté était incompatible avec la Chasse, je trahirais la cause de la Famille Sainte, si je lui donnais mon approbation. La famille ne peut être sainte, si elle ne forme des saints, si la Chasse est un empêchement de la sainteté, au lieu de l’approuver pour elle, il la faut défendre. […] Chaque famille avait sa part à cette charge qui était si onéreuse, que la moindre partie du dommage était de nourrir les chiens ; car les Officiers de la Vénerie étaient encore plus affamés.

211. (1644) Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. Discours quatriesme « Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. » pp. 100-132

S’ils sont de la famille de Zenon, le Theatre ne retentit que de Paradoxes.

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