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193. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125

Ce serait bien la fable de l’écrevisse qui reprochait à sa fille qu’elle allait à reculons : « Non licet Meretrici filiam exhæredare quæ vitam meretriciam ducit. » Le père, dans ces occasions, a droit de chasser son fils de sa maison.

194. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566

Il y adopte, page 189, le sentiment de ce Sçavant. « En effet, dit-il, il est bien difficile que les Poëtes ne corrompent point par des opinions incertaines & par des fables, une histoire pour laquelle on doit avoir le plus grand respect ». […] « Une fable du Paganisme mise en action ; fable qui n’a pour objet que l’intrigue la plus licencieuse & la passion la plus criminelle. […] Est-ce parce que l’amour, qui est le sujet de la fable de ce Roman, présente d’abord l’image du crime ? […] Nous avons vu que Platon & les sages Législateurs du Paganisme rejettoient loin de toute République bien policée les fables & les instrumens de musique qui pouvoient amollir une Nation par le goût de la volupté. […] L’Evangile à l’esprit n’offre de tous côtés Que pénitence à faire & tourmens mérités185 : Et de vos fictions le mélange coupable, Même à ses vérités donne l’air de la fable.

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