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277. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre [V].  » pp. 156-192

Bien loin donc de pouvoir rien concluré de ces expressions en faveur de la danse, c’en est au contraire la condamnation ; puisque ce n’est qu’en écartant toute ressemblance avec cet imput divertissement, qu’on peut en faire l’application.

278. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153

Tel étoit le goût décidé de cette Reine gothique selon l’expression de Madame de Motteville, sa vie fut une mascarade perpétuelle, toujours habillée en homme comme l’Abbé de Choisi en femme, l’Abbé des Yvetaux en berger, un juste aucorps, un chapeau, une perruque, un plumet, l’épée au côté, une chaussure d’homme, elle étoit plus propre à faire peur qu’à plaire, ou plutôt à faire rire, c’étoit un Arlequin ; la nature s’est trompée , disoit-elle, en me faisant femme  ; pensée qu’elle avoit empruntée du distique fait contre le Roi d’Angleterre Jacques Ier. : error naturæ sic in utroque fuit .

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