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251. (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190

Aussi pour ne pas outrer les choses, laissons les Comédiens en repos sur la fin qu’ils se proposent ; contentons-nous de leur faire connaître celle qu’ils doivent se proposer pour exercer leur profession, selon la règle de Saint Thomas. […] Le premier Concile d’Arles, tenu l’an 314, prive de la Communion, ou si vous voulez, excommunie et sépare de la Communion des fidèles, ceux qui montent sur le Théâtre. « De Theatricis et ipsos placuit quamdiu agunt, a Communione separari 32 », pendant le temps qu’ils exercent cette profession. […] Mais cela seul vous fait voir qu’on a toujours mis une grande différence entre ces Jeux et vos Comédies ; et que vous devez en mettre encore entre elles, et les Jeux des Collèges qui se font pour exercer les Ecoliers, et dans lesquels il n’y a rien de malhonnête.

252. (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104

Non-seulement elles ne faisaient de mal à personne, mais elles étaient sensibles et bienfaisantes ; elles coulaient en paix et honorablement leurs jours dans la pratique de toutes les vertus sociales ; et, je le répète, elles exerçaient la plus grande et la plus salutaire influence sur les mœurs de la capitale, et même de la nation entière.

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