Ceux qui entretiennent l'oisiveté, et la mollesse, qui excitent les passions, et corrompent les bonnes mœurs. […] La fin de ces représentations étant d'exciter les passions, elles sont directement contraires au Christianisme.
Plus ils colorent ces vices d'une image de grandeur et de générosité, plus ils les rendent dangereux et capables d'entrer dans les âmes les mieux nées ; et l'imitation de ces passions ne nous plaît que parce que le fond de notre corruption excite en même temps un mouvement tout semblable, qui nous transforme en quelque sorte, et nous fait entrer dans la passion qui nous est représentée.