dit nettement que le théâtre est une des pompes du diable, auxquels les Chrétiens ont renoncé à leur Baptême : et que c’est par conséquent être apostat, que d’y assister. « Quomodo, ô Christiane, spectacula post baptismum sequeris, quæ opus esse diaboli confiteris ? […] « Si cui itaque leve spectaculorum crimen videtur, respiciat cuncta quæ diximus et videat in spectaculis non voluptatem esse, sed mortem. […] Ils doivent, suivant le conseil de Salvien, considérer que les spectacles sont plutôt une mort à l’âme qu’un véritable plaisir. « Respiciant cuncta quæ diximus, et videant in spectaculis non voluptatem esse, sed mortem. […] écrivant à l’Evêque de Poitiers : Quæ canonicis obviat institutis, nullius debet esse momenti. » Mais comme les Fauteurs des Comédiens soutiennent, que S.
et, « qu’ils apprennent que les Fêtes ne sont pas des jours destinés aux plaisirs du corps, mais à l’adoration, et à la prière » ;« Aliud esse tempus supplicationum noverint, aliud voluptatum. » ib. […] « Aliud esse tempus supplicationum noverint, aliud voluptatum. » ib.