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251. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

Et que personne ne se méprenne ici à ces espèces de ménagements : le principe en est trop visible pour qu’ils fassent illusion. […] D’ailleurs, les serments réciproques, tels qu’on les entend sur notre Théâtre, sont une espèce de Dialogue bruyant, dont la colère paraît être des deux côtés, la source ; ils ont tout l’air de préludes naturels d’un combat prochain : spectacle que le sexe timide et sans défense redoute le plus ! […] Et quelle espèce d’homme est-ce que Longuevue, suivant l’appréciation que le Poète fait de son mérite ?

252. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE II. De la Danse. » pp. 30-51

Il s’est formé de toutes parts en France une multitude d’académies de toute espèce, la langue Françoise, les arts, les sciences, médailles, inscriptions, belles-lettres, architecture, sculpture, peinture, agriculture, art de monter à cheval & de dresser les chevaux, &c. […] Un des plus grands dangers des danses théatrales, c’est le mélange des deux sexes ; chacun y développe ses propres beautés, & agit sur les autres danseurs & sur les spectateurs de toute espèce.

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