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237. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Depuis, dites-vous, que vous l’avez lue, vous vous sentez non seulement assez éclairée, pour éviter les piéges de l’ennemi ; mais encore assez de courage, pour l’accabler sous le poids de vos armes. […] Les mœurs , dit-il, & la Réligion n’ont point de plus grands ennemis, que les Poëtes Dramatiques ; & après avoir prouvé que le vice est substitué à la vertu, distingué, applaudi &c, il ajoute : c’est un fait que les choses se passent ainsi sur notre Théatre. […] Illicites & criminels, parce que les Sts Peres les ont toujours regardés comme ennemis des bonnes mœurs, & qu’ils ont sévérement condamné l’esprit qui y méne, & les spectateurs qui y prennent plaisir, comme coupables des crimes qui y sont représentés. […] Par les écrivains les plus célébres, & dont on ne peut récuser l’autorité : par les ennemis mêmes de l’Eglise : par les Auteurs mêmes intéressés à soutenir leur cause : par les génies les plus rares, & qui feront à jamais, l’honneur de la France.

238. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224

Ce n’est qu’un embarras pour les magistrats & les censeurs : toute leur vigilance ne suffit pas pour arrêter le mal ; il faudroit des armées pour contenir ces ennemis du bien. […] D’autres ennemis de M. […] Toutefois, s’il le faut, je veux bien me dédire, & pour calmer enfin tous ces flots d’ennemis, réparer dans mes vers les maux que j’ai commis.

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