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238. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Une mere n’en doit point à sa fille, j’ai le droit de lui commander, c’est a elle à m’obéir, c’est mon enfant, c’est tout dire. Je l’avoue, Madame, elle est votre enfant ; mais ne l’êtes vous pas de l’Eglise ? […] Rien n’étoit, en apparence, plus régulier, que la conduite de Dérues, on croyoit voir en lui la probité personnifiée ; Dérues, ce malheureux Dérues, communioit tous les jours, tandis qu’il formoit, & qu’il exécutoit le noir projet d’empoisonner la mere & l’enfant. […] Illicites &c ; parce qu’on y tourne en dérision, les droits les plus sacrés des peres & meres sur leurs enfants, des maîtres sur leurs serviteurs à voler, à mépriser leurs parens & leurs maîtres, & à s’en moquer, avec la plus indigne insolence : comme dans l’Avare, dans l’Usurier &c.

239. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230

La Rosiere fut mariée dans l’an ; le Seigneur voulut être parrain de son premier enfant ; le Rosier fut marié aussi dans son année, on lui fit les mêmes honneurs.

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