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17. (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167

et qui peut résister à celui qui tient dans sa main le destin des empires ? […] En peignant dans les Horace la grandeur et les vertus d’Albe et de Rome, Corneille était-il inquiet de l’autorité du Monarque puissant qui gouvernait l’empire ? […] Ainsi donc, sous l’empire d’une loi sage, unique, appropriée au génie d’un peuple moderne, nous n’aurons d’autre lumière que celle qui doit jaillir de cette source féconde. […] Oui, c’est là qu’on retrouve l’image de ces anciens corps de magistrature qui honoraient l’Empire Français, en se montrant les amis et l’appui de leur barreau. […] NDE La veuve du Malabar, ou l'empire des coutumes, tragédie de M.

18. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — III. Et c’est l’effet propre de la Comédie. »

Ces principes posés, il s’agit à présent de prouver que la Comédie fournit au monde de nouveaux attraits ; qu’elle affermit ou établit même l’empire du Prince des ténébres ; qu’elle souléve les passions ; qu’elle les porte à la révolte ; & que parconséquent elle est directement opposée au but que Jesus-Christ s’est proposé de dompter les passions, & de substituer à l’amour de la Créature & de sa loi.

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