Accoutumé à avoir la fibre ébranlée par l’impression de tableaux épouvantables, le peuple renonce à la jouissance des impressions douces ; il ne veut plus que Clytemnestre meure derrière la toile. […] Ainsi l’on ne trouve que fadeur au doux nectar des abeilles quand on s’est habitué à mâcher du piment.
Cet utile rempart, ce doux attrait, le théatre le détruit.