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232. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381

Il envie aux Grecs deux lettres, qui répandent, dit-il, l’amenité dans un discours, hilarior renidet oratio, parce que rien n’est plus doux, nullæ dulcius spirant.

233. (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88

Encore qu’il n’y ait rien dans ces Spectacles que de doux, que d’agréable, que de simple ; et qu’il y en ait même quelques-uns d’honnêtes, ils ne laissent pas d’être dangereux. Personne ne mêle le poison avec le fiel ou avec de l’helebore ; mais on le met dans les viandes bien apprêtées, douces et agréables au goût : De même, le diable répand son venin sur les choses de Dieu les plus agréables.

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