La puissance des rois étant d’institution divine, a une supériorité marquée sur celle du clergé ; les dogmes fondamentaux de notre religion l’attestent, et les conciles l’ont reconnu ; le prince est le protecteur né des Saints Canons, il doit en surveiller l’exécution et se servir de son autorité pour y ramener les prêtres qui s’en écartent.
Des Républiquains étoient contents de voir les Rois être les jouets de la Fortune, & les objets de la colere divine. […] Agamemnon reconnoît combien son emportement contre Achille, cause de malheurs ; mais les Peuples ont tort de l’en accuser ; Jupiter, le Destin, & la Furie Ιἐροϕοιτις l’ont voulu ; on ne peut resister à la Volonté divine.