MM. les comédiens François, après avoir avancé dans leur adresse, page 7, qu’une seconde troupe nuiroit aux progrès de l’art dramatique, ajoutent : « On ne peut se rappeler, sans émotion, le succès momentané qu’usurpa Pradon sur le divin Racine ».
Du côté du cœur & des bonnes mœurs, c’est encore pis ; il detruit la pudeur, la religion, la sincérité, la charité, l’humilité, la douceur, le goût de Dieu, la pensée des choses saintes, l’amour de la pauvreté, de la pénitence, la lecture des bons livres, les pratiques de piété, des Sacremens, l’étude, la parole divine, en un mot tout l’Evangile.