Je sais bien qu’il ne leur est pas plus permis de s’y rencontrer les autres jours ; mais je marque ici particulièrement les Dimanches et les Fêtes, pour satisfaire au sujet que je traite, comme aussi parce que c’est ces saints jours qu’on emploie plus ordinairement à ces pernicieux divertissements.
Quatre scenes de danse, de divertissement, composent ce petit ouvrage admirable pour le théatre de la Foire. […] On l’a changé, & on a donné ce divertissement sous le nom d’Amour de Fagonde, qui pique plus agréablement le palais des coulisses & des loges.