Au reste, il range toujours ces malheureux divertissements « parmi les attraits et les pépinières du vice : illecebras et seminaria vitiorum » ; et s’il ne frappe pas ceux qui s’y attachent, des censures de l’église, il les abandonne au zèle et à la censure des prédicateurs, à qui il ordonne de ne rien omettre pour inspirer de l’horreur de ces jeux pernicieux, en ne « cessant de les détester comme les sources des calamités publiquesIbid. p. 40.
Ils commandent aux Prédicateurs d’enseigner aux peuples que ces divertissements sont de l’invention du diable, et qu’on les doit entièrement exterminer et proscrire du Christianisme ; ils s’appuient sur l’autorité des Pères qui les ont combattus, il n’y a personne qui ne voie clairement la conformité des derniers temps avec les premiers.