Vers le milieu du dernier siècle il s’introduisit à la Cour une mode jusqu’alors inconnue dans toutes les nations. […] Nos théâtres modernes les ont imités, et depuis Molière jusqu’aux derniers opérasf on trouve mille endroits, et même des scènes entières, où les Comédiens se décèlent, se trahissent les uns les autres, et se font mépriser en se dévoilant.
Roi, tu languis dans l’exil, et tes fautes sont punies jusque dans tes dernières générations ! […] Non, ces conséquences sont parfaitement logiques, et si je les ai déduites presque jusqu’à leur dernier terme, c’est pour prouver combien les doctrines, les exigences, les commandements de ces prêtres sont subversifs de toute société humaine et contraires aux intentions de Jésus-Christ, source de toute vérité, puisqu’elles finissent par conduire nécessairement à l’absurde. […] elle a été ternie pendant les dernières années de sa vie, et ce sont les chefs-d’œuvre de Corneille, de Racine et de Molière qui ont valu à son siècle le nom de siècle de Louis XIV.