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139. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99

Le premier, probablement, parlait des anciennes Tragédies Grecques, où l’on voit les trahisons, les meurtres, les incestes, les parricides ; des Pièces satyriques d’Aristophane ; des Comédies de Plaute & de Térence, qu’une Française lui abandonne de bon cœur : l’autre n’a sans doute en vue que de conserver à sa bicocque de Genève, dont je me soucie très-peu, son urbanité suisse, le droit de s’ennivrer, l’agrément de médire à son aise, & le plaisir, un peu plus réel pour la jeunesse des deux sexes, de danser quelquefois ensemble.

140. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127

On interdit la fréquentation des mauvaises compagnies, crainte de leur ressembler, et on fait venir des Acteurs danser sur le théâtre, aider à exercer, on habille les enfants, on les farde comme des Actrices.

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