Dans le second, j’exclus tout à fait la passion d’amour des Pièces qu’on écrira pour le nouveau Théâtre ; et, dans le cinquième, je prétends abolir entièrement la danse des femmes. […] A l’égard du cinquième article, qui abolit la danse des femmes du Théâtre, je n’ai qu’à répéter ce que j’ai dit dans le quatrième Chapitre. […] Je me contenterai donc d’ajouter que la Comédie la plus libre est mille fois moins dangereuse que la danse des femmes sur la Scène.
François de Sales ne condamne pas les danses et les spectacles. […] Ce grand Saint, à la vérité, en faveur de ceux qui dans certaines conjonctures, qui sont rares, se voient comme forcés de s’y trouver, prescrit des précautions pour y conserver l’innocence ; mais il ne plaît pas aux gens du monde de les prendre, ces précautions ; ils ont donc mauvaise grâce d’autoriser les danses et les spectacles, par le témoignage de ce saint Evêque.