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325. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194

Vous venez du néant, d’où le Créateur vous a tiré, de la terre d’où il vous a formé, du péché dont le Rédempteur vous à sauvé, d’une femme que la vanité a perdue, & qui par le dangereux poison de ses charmes, a perdu son mari, & tout le genre humain. […] Une femme fardée est une vraie incendiaire, & bien volontaire, puisqu’elle se pare à dessein, pour attirer le feu de l’impureté, de tous le plus prompt & le plus dangereux ; il n’y a point d’étoupes, de pailles, de matiere combustible, plus inflammable que le cœur humain, par les attraits de la femme ; pour lui épargner un si grand danger, Dieu défend de régarder la vanité du monde : Odisti observantes vanitates  ; & le Prophête prie le Seigneur de détourner ses yeux pour ne pas la voir ; averte oculos meos ne videant vanitatem .

326. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114

Il fut errant en Piemont, en Espagne, en Hollande, par-tout connu & craint par son talent dangereux. […] Il ne faut s’en prendre qu’aux acteurs dangereux.

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