Il y a un défaut reconnu de tout le monde dans les Horace de M. de Corneille. […] Le Public peut donc retirer quelque fruit de la Comédie, pour la réformation des mœurs, et pour se guérir de certains défauts, à quoi l’on ne saurait remédier par une autre voie.
J’ouvre vos Livres, & je ne trouve par tout que certaines amours romanesques, dont l’absurdité & la triste uniformité sont encore les moindres défauts.