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106. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142

Pulchram rogabat Laïdem canus miton,         Tulit repulsam protinus ; Causam sensit, & caput fuligine,         fugavit atrâ candidum : Idemque vultu, crine non idem miton,         Orabat oratam prius ; Sedilla formam cum capillo comparans,         Sic est adoria callidum.

107. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168

Ce Prince l’avoit toujours à la main, c’étoit son bouclier & son épée, il s’y contemploit sans cesse, & lorsqu’il alloit commander les légions, il regardoit soigneusement si les armes lui alloient bien : Quo te videbat armatum, cum tolli venilla juberet.

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