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45. (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65

« Pour moi je crois entendre chaque Spectateur dire en son cœur à la fin de la Tragédie : Ah ! […] Laquelle faut-il croire ? […] Rousseau croit superflu de prouver ce qu’il avance à la multitude (c’est-à-dire, à nous autres) : mais il trouve convenable de donner plutôt des leçons sur le Tribunal des Maréchaux de France. […] Le hasard est un être de raison, un mot vide, inventé par l’ignorance : ce que nous nommons hasard, ce que nous croyons fortuit, est un résultat dont nous ignorons le calcul, de même que l’axiome que nous croyons le plus certain. […] On ne croyait pas que ce fussent leurs vertus caractéristiques.

46. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Rousseau croit être à Lacédémone. […] Est-ce à lui de nous croire des monstres ? […] Croira-t-on que l’usurier se complaise dans le miroir de l’avare ? […] Ce qui a fait, je crois, que M. […] Rousseau se croit-il à Lacédémone ?

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