En écrivant à ce pieux missionnaire, je crois avoir conservé le ton de modération, de décence et d’urbanité qu’exigeaient à la fois et son caractère sacré, et le sujet que je voulais traiter, et les lecteurs auxquels je m’adressais.
Les sénateurs romains, ce consistoire des rois ; les censeurs, ces hommes graves, faits pour conserver les bonnes mœurs ; Caton lui-même, ce censeur si rigoureux, alloient aux spectacles.