Je combattrais en chaire pour la religion et pour la vertu ; j’alarmerais votre conscience par la vue des blessures profondes que le spectacle fait à votre âme.
C’est parce que sa conscience lui reproche tout ce qu’elle a fait, & par la même raison elle fait encore à Josabet un long détail des meurtres que la vengeance lui a fait ordonner, & à son récit plein de fureur, Josabet se contente de répondre, Tout vous a réussi, que Dieu voye, & nous juge.