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191. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64

Dans une Monarchie le peuple a déposé tous ses droits dans les mains d’un seul, il lui a remis toute l’autorité nécessaire pour la conduite des affaires, et ne lui a donné d’autre juge que sa conscience. […] Tout bon Patriote d’une République peut et doit en conscience rendre compte à ses Concitoyens de ce qu’il trouve de vicieux dans cette administration.

192. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179

Tout le reste est trop bon pour avoir besoin de correctif) Selon divers besoins, il est une science D’étendre les liens de notre conscience, (On voit par là que les besoins physiques & l’usage qu’on en fait en morale sont plus anciens que Marmontel & les autres apologistes du théatre.

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