La scène changea : l’inconstance de la Princesse lui fit parodier ces vers : Pour ce cœur inconstant qu’enfin je connois mieux, j’ai fait la guerre aux rois, j’en ai perdu les yeux. […] Le tempérament amoureux de ce héros étoit aussi connu que ses victoires.
C’est donc un crime à un Chrétien de ne pas aimer le monde, d’en connoître la vanité !