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156. (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16

Pour moi, qui connais son activité et son zèle, je me garderai bien de lui adresser un semblable reproche. […] Aux autorités religieuses j’avais ajouté l’exemple des princes le plus connus par leur piété et notamment le roi de France très-chrétien. […] Voilà, Monsieur le Grand-Vicaire, ce que je répliquerais au Laïc, ou soi-disant tel, si j’avais l’honneur de le connaître.

157. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335

N’ayant longtems connu que les Poëtes Espagnols, & quoique avec de tels guides devenu par son seul génie supérieur dans son Art, ce fut après avoir lui-même crée parmi nous la Tragédie, qu’il voulut connoître celle des Grecs. […] Il ne falloit pas un grand effort d’imagination pour sauver l’horreur du crime d’Oreste, qui peut avoir tué sa Mere sans la connoître : les trois grands Poëtes de la Grece ont traité ce même Sujet, sans chercher à en adoucir l’horreur.

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