Il y a tant de choses, lesquelles condamnent l’usage, qui s’en fait, que, de quelque côté que l’on se tourne, l’on n’entend que des voix, qui crient contre ce divertissement, autant préjudiciable à l’ame, qu’il est agreable aux sens. […] Si cela ne peut être contredit, n’est-on pas obligé de condamner, ce qu’ils condamnent ?
Son Ouvrage, devenu fort rare, traite la matière à fond ; et le sage Religieux qui en est l’Auteur, a démontré par des raisons sans réplique, que le Théâtre n’a jamais été condamné par l’Eglise, et qu’en soi-même il ne peut être condamnable. […] Le Théâtre n’est pas condamné, je le sais. […] Que l’on ne condamnera jamais ceux qui conserveront la décence en toutes ses parties.