Cependant par une contradiction sensible, il s’efforce d’excuser George-Dandin, qui fut le triomphe de l’adultère, & le Festin de Pierre, qui est une vraie impiété, & qui a été nommément condamné par la Sorbonne.
quelque chose de si horrible et de si infâme que la Comédie, comme on la jouait du temps de nos pères, qu’il n’y a personne à l’heure qu’il est, qui ne la condamnât, comme ils ont fait.