Ce que nous avons remarqué ci-dessus demontre que sa plume a très-souvent mal secondé la droiture de ses vues : Je ne puis croire qu’une saine morale, modérément assaisonnée de quelques bonnes plaisanteries, puisse être condamnée. […] Ce ne sont pas ces traits en eux-mêmes qu’on condamne, mais la très-mauvaise compagnie où ils se trouvent inséparablement attachés.
Mais empêcheront-ils l’Europe & la postérité de condamner leurs folies ? […] Mais quel besoin de faiune loi d’un usage si commun, si établi, que personne ne condamne ?