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308. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114

Ce que nous avons remarqué ci-dessus demontre que sa plume a très-souvent mal secondé la droiture de ses vues : Je ne puis croire qu’une saine morale, modérément assaisonnée de quelques bonnes plaisanteries, puisse être condamnée. […] Ce ne sont pas ces traits en eux-mêmes qu’on condamne, mais la très-mauvaise compagnie où ils se trouvent inséparablement attachés.

309. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Théatre de Pologne. » pp. 80-105

Mais empêcheront-ils l’Europe & la postérité de condamner leurs folies ? […] Mais quel besoin de faiune loi d’un usage si commun, si établi, que personne ne condamne ?

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